Le 26 avril 1986 explosait à Tchernobyl, en Ukraine, un réacteur de la centrale nucléaire. C’est l’accident radioactif le plus important et le plus catastrophique du XXe siècle. Une zone de trente kilomètres autour de la centrale est déclarée sinistrée aux moments des faits. Elle couvre une superficie de 2 600 km² et 270 000 personnes sont évacuées.
L’affaire du siècle à cause de l’impact écologique de la catastrophe nucléaire
Scandale écologique : Effets sur la flore
la flore était déjà bien développée au moment de l’explosion et le bétail en pâture. Les éléments contenus dans la substance radioactive se sont infiltrés dans le sol, sous l’effet de la pluie. De ce fait, la majorité des denrées alimentaires a été contaminée, particulièrement les légumes à feuilles, le lait et les produits d’origine animale. Des études démontrent que le Césium 1371 peut encore de nos jours, remonter à la surface des sols cultivés, suivant leurs caractéristiques.
Désastre écologique : la faune
La plupart des animaux sauvages présents sur place ont été condamnés. Plusieurs expertises menées depuis, s’efforcent de démontrer ou d’amoindrir les conséquences physiologiques et comportementales sur les rescapés et ceux revenant vivre sur le territoire contaminé.
L’hydrologie
Là encore, concernant les répercussions de la radioactivité sur les cours d’eau et les mers, certains scientifiques considèrent que le temps a permis au césium de se dissiper suffisamment, pour être considéré aujourd’hui comme sans danger.
Les personnes
Le cancer de la thyroïde chez l’enfant serait le plus significatif sur une longue période, quant aux retombées sanitaires. Encore une fois, les résultats ne sont pas concluants, les scientifiques exhortant le peu de référence pour s’appuyer sur ceux-ci. Tout dépendrait de l’alimentation ingurgitée par la population concernée, sur un même lieu étudié. Ce qui dispose à rendre les résultats flous et évasifs.
L’affaire écologique du siècle ?
Les conclusions de ces recherches restent controversés, suivant que les médias ont affaire aux scientifiques mandatés par les gouvernements ou faisant partie d’une ONG. Les premiers tentent de minimiser les incidences sur le long terme pour relancer l’économie des régions sinistrées, en tempérant la nocivité. Les ONG elles, démontrent les effets désastreux sur les espèces vivantes, à échéance.